Il n’y a pas de passage, pas d’adolescence, Dit le jeune homme.
Seulement le destin, plus ou moins parallèle, des gouttes d’eau le long de la vitre.
En définitive je ne sais pas si je parviendrai jamais à m’échapper vraiment.
Ni m’endormir vraiment. (Ni vraiment mourir)...
Une transparence sur une autre transparence.
C’est ce que j’ai compris.
J’ai tout et je n’ai rien.
Alors je ne sais pas demander.
